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 ENTRETIEN D'EMBAUCHE

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Kelly
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MessageSujet: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 14:43

Les secrets d'un entretien d'embauche

Premier succès

Votre candidature a plu et vous avez passé la première phase, la plus éliminatoire : la phase écrite (candidatures spontanées et réponses aux annonces).

Dans la plupart des cas, les recruteurs reçoivent 80 à 100 candidatures pour un poste à pourvoir et ne rencontrent au final en entretien que 4 ou 5 personnes.

Il s’agit donc pour vous d’un premier succès, ne le négligez pas !

Question : Les entretiens pour lesquels vous avez été retenu se ressemblent-ils ? Pour quel type de projet professionnel avez vous obtenu un (des) entretien(s) ? Pouvez-vous en tirer des conclusions et préciser votre recherche d’emploi ?

Pour information, on cite le chiffre de 7 entretiens pour aboutir à une embauche. Conclusion, aller en entretien est extrêmement positif quelle qu'en soit l’issue.

Quel est l’enjeu d’un entretien de recrutement ?

- Pour le recruteur : sécuriser le recrutement.

Un recrutement raté coûte très cher : en termes financiers bien sur, mais surtout en temps, en organisation. Parfois même cela peut mettre en péril l’entreprise. Donc, l’entretien de recrutement vise avant tout à sécuriser le recrutement.
Comment ? en validant l’adéquation entre votre profil et poste à pourvoir. A ce sujet, les anglo-saxons utilisent l’expression « the right man at the right place ».
L’idée c’est que le recruteur se dise « Avec lui (elle), je ne me trompe pas, j’ai la bonne personne pour ce poste ».

- A ce que les deux parties ne se trompent pas l’une sur l’autre.

Vous aussi vous ne devez pas vous tromper. Même si l’on n’en parle peu, votre souhait de travailler pour cette entreprise à ce poste compte autant pour le recruteur que la qualité de votre CV. Le recruteur veut sentir « votre motivation ».
Vous n’avez pas intérêt à vous engager à la légère. En posant des questions pertinentes, vous montrerez votre sérieux et votre professionnalisme.

L’entretien de recrutement est … un entretien commercial.

Il nous est à tous arrivé d’acheter un produit dont nous n’avions pas réellement besoin (tout en le sachant) parce que le commercial était « bon ».
L’entretien de recrutement c’est un peu pareil, certains savent mieux se vendre que d’autres. L’entretien de recrutement est … un entretien commercial, gardez le à l’esprit.

Petite astuce : avant de rentrer en entretien, mettez-vous dans la peau du recruteur et demandez-vous simplement quel type de personne vous aimeriez rencontrer si vous étiez le recruteur. De quoi auriez-vous envie ? De rencontrer une personne timide, tendue, surexcitée ou quelqu’un de réfléchi, souriant, calme, intéressant ?
Faites ce petit exercice mental, vous verrez, les résultats sont surprenants. Source


Dernière édition par Kelly le Lun 28 Jan - 16:27, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 14:48

Gérer le stress de l’entretien d’embauche

Il y a trac et stress. Alors que le premier disparaît quand nous sommes en situation, le second peut saboter nos chances de réussite en entretien d’embauche. Pour apprendre à gérer notre stress, faisons de la place à nos émotions, elles ont beaucoup à nous dire, pour notre bien, dès lors qu’on les reconnaît. Place aussi à l’action et au travail sur soi, car personne ici ne vous dira que ça se fait tout seul.

Le trac est une anxiété d’anticipation, qui monte au fur et à mesure que l’échéance se rapproche pour disparaître progressivement ensuite. « Il est une réaction parfaitement normale dans une situation à enjeu et, la plupart du temps, il disparaît dès quon rentre dans cette situation », explique Sylvaine Pascual, coach et fondatrice d’Ithaque Coaching. Le trac ne dure en général pas plus de deux jours, au–delà, on parle d’inquiétude chronique. Celle–ci, qui génère du stress, se rapproche probablement plus de la sensation de ne pas se sentir à la hauteur, du manque de confiance en soi et s’aborde différemment. « Le stress est un excès d’émotions négatives non gérées et quand on se sent stressé, il faut d’abord identifier les sensations qui génèrent le stress, c’est-à-dire s’attaquer au déclencheur plutôt qu’à l’alarme », pointe–t–elle. Quand on cherche un job depuis plus de six mois par exemple, on peut ressentir de l’inquiétude, de la peur. Voilà, l’émotion est nommée.

Identifier ses émotions


Le stress, mot fourre–tout. Qui plus est, une stridence dans l’oreille. Une sacrée dépense d’énergie face à une situation perçue comme une menace. À force de l’utiliser pour désigner toute situation inconfortable ( ?) perturbante ( ?), contrariante ( ?), angoissante ( ?), on oublie les émotions auxquelles il est relié. « L’émotion n’est générée que par soi–même face à une situation extérieure, l’autre n’en est donc jamais responsable », pointe Sylvaine Pascual. Ainsi, si on se sent mal face à un recruteur, rappelons–nous que c’est nous, et nous seuls, qui générons notre état. Autrement dit – et c’est une très bonne nouvelle ! –, nous ne sommes pas victimes de notre stress. Et pour agir dessus, il faut… AGIR ! « Il faut non seulement le vouloir mais le travailler. Si vous êtes un angoissé chronique face à une situation d’entretien, vous devez faire en sorte d’améliorer votre estime de soi ; tant qu’on ne traite pas cela, on peut faire toute la relaxation que l’on veut, cela ne sert à rien », insiste notre coach.

Enclencher le mode dynamique

Action donc. Vous pouvez travailler seul ou accompagné, sur ce que vous avez identifié ; c’est votre tempérament et votre envie qui décident. « Il importe de prendre le temps et de noter les choses, par écrit ou mentalement. Par ailleurs, pour gagner en confiance en soi, les actions à mener dépendent de la nature de l’inquiétude », souligne Sylvaine Pascual.
Si vos émotions vous amènent à considérer que vous n’avez pas confiance en votre CV, vos actions doivent vous mener à l’améliorer. Si vous n’êtes pas à l’aise avec un point de votre parcours, réconciliez–vous avec lui. « Cela peut passer par un questionnement de cet ordre : Comment mon parcours a–t–il fait de moi le professionnel que je suis aujourd’hui ? De même, faire le point sur ce qui nous a amené là où nous sommes au niveau professionnel, sur les valeurs qui en ont été le fil rouge, permet de recoudre un parcours décousu », suggère Sylvaine Pascual.

Se valoriser c’est reconnaître sa part de responsabilité dans la réussite

Nous sommes facilement dans la culpabilité et la dévalorisation, pour dire combien nous avons été mauvais, combien c’est notre faute si on s’est planté, n’est-ce pas ? Ça marche même quand on réussit, pour aboutir à ce genre de tirade : J’ai eu ce job, oui mais bon, l’entretien était super facile. « Il est important de reconnaître notre part de responsabilité dans notre réussite et d’y croire — il ne s’agit absolument pas de pensée positive pour essayer de se convaincre, qui, si on est un peu dépressif par exemple, aura l’effet inverse de celui recherché », complète–t–elle. D’accord mais après un énième entretien raté, comment faire pour se valoriser ?

> Repassez le film de l’entretien.
> Notez là où vous avez été bon afin de pouvoir vous dire comment reproduire.
> Notez aussi là où vous n’avez pas été bon, pour réfléchir à une autre stratégie.

« Il s’agit d’expérimenter et de se sortir de la tête qu’il existe des solutions miracles. Si vous restez passif, le stress ne risque pas de s’en aller ou de s’amoindrir », signale la fondatrice d’Ithaque Coaching.

En mode victime, cela donne : Mes entretiens se passent mal, c’est de la faute des recruteurs, tous des… Tous des quoi ? « Le rôle de victime, qui est le rôle relationnel le plus fréquent, est totalement déresponsabilisant. Il génère une colère chronique qui ronge de l’intérieur, et donc du stress. Il fait s’enfermer « la victime » dans un monde où le recruteur est un ennemi et dans ce monde, il a peu de chances d’en rencontrer un qui fasse correctement son boulot », souligne–t–elle.

C’est pratique ma foi – pincettes requises pour écrire ceci car certaines personnes ont des histoires de vie tellement difficiles qu’il n’est pas évident pour elles de sortir du rôle de victime –, cela permet d’apitoyer le monde entier sur son sort et donc d’attirer de l’attention, tout en restant passif. Sauf que nous avons dit Action ! Pour sortir de ce rôle, on peut se recentrer sur ce qu’on veut comme job et sur quelles actions se focaliser pour l’obtenir. L’auto–indulgence : oui ; l’auto-complaisance : non.Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 14:51

Cinq questions à poser en fin d'entretien

Le rendez-vous a été pris pour 17h00 et en bon professionnel, vous avez potassé votre argumentaire histoire de répondre le plus efficacement possible aux questions que le recruteur vous réserve pour ce premier entretien. Mais savez-vous ce que vous allez répondre quand, à l’issue de votre discussion, il vous invitera à faire de même et que ce sera à votre tour de lui poser des questions ?
Vous abstenir en prétextant que tout est clair reviendrait à vous tirer une balle dans le pied : il y a toujours des zones d’ombre à éclaircir à la fin d’un rendez-vous. ‘Il n’y a que ce qui nous laisse indifférent qui ne nous questionne pas.

Pour un candidat, savoir poser les bonnes questions est aussi important que de bien répondre à celles du recruteur. Il en va de sa capacité à marquer son intérêt pour le poste, à s’y projeter’ précise Annabelle Dupry, consultante senior au sein d’un grand cabinet de recrutement. La balle sera donc dans votre camp : voici cinq questions qui vous permettront de faire bonne impression au recruteur et d'obtenir toute l'information utile pour prendre une décision éclairée sur votre avenir dans cette entreprise.


1. Une question sur la stratégie de l’entreprise.

Votre interlocuteur aura probablement abordé le point au cours de l’entretien mais sans trop s’y attarder, car il attend que vous exprimiez vous-même le besoin d’en savoir plus pour juger de votre sérieux. En effet, quel marin se disant expérimenté et ayant un minimum de professionnalisme serait assez fou pour embarquer sur un bateau sans intérroger le capitaine sur la destination ou la qualité réelle de l'embarcation ? Comment se situe l’entreprise sur son marché et quelles sont ses forces et ses faiblesses, quelle place occupe l'international dans sa stratégie de développement, quelle place vise l’entreprise dans 5 ans, quels nouveaux produits ou services vont être prochainement lancés et quels en sont les enjeux… voilà des questions qui vous éclaireront sur la capacité de l’entreprise à avoir une vision claire de son avenir, tout en montrant au recruteur que vous savez ce que vous voulez, et que vous vous projetez dans une collaboration durable (ce qui, compte tenu des coûts de recrutement à amortir, a plutôt tendance à rassurer un employeur).

2. Pourquoi avez vous choisi de travailler ici ? Qu’est ce qui vous pousse à rester au sein de cette compagnie ?

Même si vous avez un bon a priori sur l’entreprise (vous ne seriez probablement pas là sinon !), vous ne la connaissez pas de l’intérieur. Ecoutez l’expérience d’une personne qui y travaille. Cela tombe bien, il y a une juste en face de vous ! Voilà qui permettra à votre interlocuteur de sortir de sa posture corporate et de répondre de manière plus personnelle, en tant qu’employé, voire de futur collègue.

3. Que pouvez vous me dire sur mon supérieur hiérarchique?

La société semble idéale ? Très bien ! Mais n’oubliez pas que vous allez travailler le plus clair de votre temps avec une seule personne, votre supérieur. Vous devez donc savoir au plus tôt qui est cette personne, et de quelle catégorie de manager elle relève. S’il a du mal à déléguer tandis que vous ne savez pas travailler autrement qu’avec beaucoup d’autonomie, les chances de vous épanouir dans votre job risquent d’être faibles …
Savoir ce que sont devenus les gens qui ont travaillé sous sa responsabilité vous aidera aussi à savoir s’il s’agit d’un développeur de talents hors pair, ce dont vous pourriez profiter à votre tour !

4. Quelle est la politique de rémunération globale de l’entreprise ?

Cette question devrait vous permettre d’orienter intelligemment la discussion vers un point important du processus de recrutement, qu’il est déconseillé d’aborder ‘bille en tête’ lors d’un premier entretien : le salaire proposé pour le poste. Y a-t-il une part fixe et une autre variable, avec des primes sur objectifs ? Existe t-il un plan de participation ou d’intéressement ? Vous parviendrez peut-être à en savoir plus, sans en donner l’air, sur la question qui vous taraude …

5. Quelle est la prochaine étape ?

Personne ne vous en voudra jamais de prendre l’initiative pour connaître les prochaines étapes du processus l’embauche. Le recruteur y décèlera votre intérêt pour le poste et votre envie d’entreprendre.

Cette liste n’est évidemment pas exhaustive, mais vous permettra d’être mieux armé pour défendre votre prochaine candidature.
A condition toutefois de ne pas ruiner vos efforts en clôturant l’entretien par une question du type ‘les RTT sont-ils cumulables ?’ ou autre ‘Je pourrai quand même avoir des vacances cet été ?, qui trahiraient irrémédiablement un certain manque de motivation de votre part…Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 14:54

Sept comportements à éviter en entretien car 'éliminatoires'
pour une majorité des recruteurs.

1. Trop de parfum tue le parfum !

La préparation d’un entretien d’embauche n’a rien à voir avec celle d’un rendez-vous galant, même si, dans les deux cas, l’idée est de séduire son interlocuteur.
Sachant que de nombreuses personnes sont sensibles aux odeurs (par sensibles, comprenez génées), évitez de sur-jouer la carte ‘ parfum’ comme argument de séduction. Sans compter que votre fragrance préférée peut aussi être celle de l’ancien-ne petit-e ami-e de la personne qui vous fait face. Ne prenez pas le risque de lui rappeler de mauvais souvenirs…

2. Communiquez, ou vous lasserez votre interlocuteur.

"Un postulant qui ne parle pas, c’est rédhibitoire” dit Jones Steeve, manager d’un service client au sein d’une compagnie américaine basée en région parisienne. “Je prends pourtant soin de poser des questions ouvertes pour engager les candidats à développer un peu plus leurs propos, mais souvent sans succès. Et quand bien même je leur précise que j’ai besoin de plus d’information à leur sujet pour comprendre leurs parcours, j’obtiens rarement plus. Je leur donne une dernière chance en précisant à la fin de chaque entretien que c’est désormais à leur tour de me poser des questions. S’ils n’en ont pas, j’estime que c’en est trop : OK, merci, au prochain !’

Soyez donc preparé à developper vos réponses et apprenez à parler de vous !

3. Ne communiquez pas trop, ou vous lasserez votre interlocuteur.

Suzanne Rochiers, chargée de recrutement au sein d’une société de biotechnologies grenobloise, redoute quant à elle les ‘moulins à paroles’. “Un candidat qui fait un monologue de 20 minutes pour répondre à ma première question, c’est pas bon signe. Quand en plus il vous soutient que l’esprit de synthèse est un de ses atouts, c’est le pompon ! Je me souviens d’un entretien dantesque au cours duquel la candidate avait réussi le tour de force de parler pendant 45 minutes sans que je ne parvienne à reprendre la parole. J’ai fini par me lever de ma chaise, l’inviter à me suivre hors du bureau, et l’ai redirigé vers la porte de sortie… sans qu’elle n’arrête une seconde de parler !"
La leçon ? “Les candidats doivent rester concentrés, et répondre seulement à la question qui leur est posée, en deux ou trois minutes maximum" conseille Suzanne.

4. Ecouter, c’ est la clé !

De nombreux candidats sont tellement focalisés sur leur argumentaire qu’ils en oublient les questions posées par le recruteur. « Quelqu'un qui n’adapte pas son discours aux attentes de son interlocuteur, c’est rédhibitoire pour moi », commente M.Fuleau, directeur de projet au sein d’une web agency de l’ouest de la France. ‘’J’ai besoin que mes collaborateurs comprennent bien les attentes de leurs clients, c’est le minimum, sans quoi notre prestation ne répondra jamais à leurs besoins, et ça finira pas ternir l’image de la boite’’. En entretien, n’hésitez donc pas à demander à votre interlocuteur de reformuler sa question. Cela montrera que vous avez à coeur de bien comprendre ce qu'il souhaite savoir, pour répondre de manière précise. Bref, que vous vous rendez à cet entretien pour discuter et échanger ouvertement, pas pour répondre à un interrogatoire !

5. Jeu de regard.

Une communication non verbale inadaptée est un autre mauvais point pour de nombreux recruteurs. Les gens qui fuient le regard de leur interlocuteur durant tout l’entretien, voila qui a de quoi irriter Grégory Vaniez, en charge d’une agence intérim du Vaucluse. “Je sais bien que certaines personnes sont timides, mais il y a des limites ! Ne pas croiser le regard d’une personne durant une heure d’entrevue, - et préférer regarder ses pieds, les murs, la fenêtre - voilà un comportement très dérangeant. Ca ne veut pas dire que la personne ne saurait pas gérer les missions du poste, mais je ne pourrai jamais présenter une telle personne à un client en lui disant 'c'est votre homme'’’. Notre astuce : regarder le ‘troisième œil’, celui qui n’existe pas vraiment mais qu'il faut imaginer entre les deux yeux de la personne qui vous fait face !

6. Argot, verlan : laissez le langage de la rue, dans la rue !

"Ca, ça m’énerve profondément" dit Robert Plissonin, en charge du recrutement dans un studio graphique parisien. "Ca n’a définitivement pas sa place dans un environnement business. Même dans nos métiers créatifs, censés être plus ‘cool’, ne pas parvenir à tenir 30 minutes d’entretien sans avoir recours à ce type de vocabulaire, ça dénote à la fois d’un manque de self control et de respect vis à vis de votre interlocuteur.’’ Il termine en précisant que ‘les candidats qui ponctuent leurs phrases d'un ‘hum', 'euh’' et consors, ou qui les terminent immanquablement par un 'quoi !' (lui) font perdre (sa) concentration et (son) intérêt très rapidement.'
Dont act !

7. Les petits mensonges font les grosses déceptions.

Voilà un point qui fait consensus auprès de tous les recruteurs : quand ils se rendent compte que vous mentez, si petit que soit le mensonge, la confiance et l’intérêt qu’ils auront pu vous accorder au fil de l’entretien sera réduit à néant en une fraction de seconde. Ne prenez pas ce risque, car il sera trop compliqué de reconstruire sur des fondations qui viennent de s’écrouler ! Sans compter que vous perdrez alors vos chances non seulement pour ce poste, mais aussi pour tous ceux que le recruteur face à vous aura à pourvoir, aujourd’hui et demain. Trop risqué on vous dit…Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 14:57

Des clés pour décoder le recruteur

En entretien, c'est souvent l'incompréhension qui règne ! Décodez les attitudes et comprenez les attentes des recruteurs pour mieux y répondre.

Ne vous laissez pas intimider

Si vous êtes convoqué, c'est que le recruteur a jugé votre candidature intéressante. Par conséquent, votre profil correspond à ce qu'il recherche et lui aussi devient en quelque sorte demandeur ! Il ne faut pas voir en votre interlocuteur de l'hostilité, gardez en tête que vous êtes évalué sur le plan de la compétence et du comportement. L'entretien reste avant tout une occasion de vous connaître et de déterminer si une collaboration est envisageable.

Savoir qui il est

Chaque recruteur est différent ! Soyez naturel, bien sûr, mais adoptez un comportement adéquat en repérant rapidement quel type de recruteur vous avez devant vous : s'il est plutôt directif et qu'il vous pose des questions nécessitant des réponses courtes, soyez brefs et concis, allez droit au but et faites le maximum pour capter son attention en quelques mots. Osez tout de même lui demander s'il veut des explications complémentaires mais laissez-lui le contrôle de l'entretien.
S'il est plutôt non-directif et qu'il vous laisse vous exprimer librement, prenez l'initiative de l'entretien, tout en lui permettant de rebondir. Vous pouvez par exemple lui demander s'il souhaite que vous développiez d'abord votre parcours professionnel. Avantage : vous menez le jeu et pouvez argumenter comme vous le souhaitez. Préparez-vous à ce cas de figure, ce n'est jamais perdu.

Comprendre ses attentes

Un entretien est considéré par beaucoup comme un mauvais moment à passer et très peu de candidats l'envisagent du point de vue du recruteur. Or, c'est en comprenant les attentes de ce recruteur et en y répondant que l'entretien se déroulera au mieux. Tout dépend bien sûr du poste auquel vous postulez et de votre expérience mais une chose est sûre : vous devez prouver en quelques minutes que vous êtes l'homme ou la femme de la situation. Votre interlocuteur veut être rassuré sur ce point : fournissez-lui tous les arguments nécessaires. Insistez sur les aspects de votre personnalité et sur ceux de vos acquis professionnels qui sont les plus en phase avec le poste.

Décrypter ses questions

Ne partez pas bille en tête : reformulez rapidement (mentalement !) les questions qui vous sont posées, en vous mettant à la place du recruteur. Une question simple en cache souvent plusieurs… S'il vous demande par exemple " Pourquoi avez-vous répondu à cette annonce ? ", dites vous qu'il cherche sans doute à vérifier que vous avez bien compris le profil recherché pour ce poste et que vous y correspondez.

Etre attentif à tous les détails

Quelle que soit la personnalité de votre recruteur, soyez attentif aux signes non verbaux, notamment les signes d'inattention ou d'ennui comme un regard absent ou tourné vers la fenêtre : vous devez être plus bref ou plus percutant ! Il est toujours temps de réorienter l'entretien afin de capter son intérêt. C'est le moment de relancer la dynamique de l'entretien avec une question du type : "Souhaitez-vous que je vous parle de mon dernier poste " ou tout autre question qui l'interpelle et l'oblige à revenir vers vous.

Ce que le recruteur ne laissera pas passer…

-Le candidat qu'il faut arrêter après chaque question posée parce qu'il est trop bavard.
-Le candidat qui ne laisse jamais le recruteur finir ses questions ou ses phrases.
-Le candidat qui n'arrive pas à gérer ce stress, l'employeur peut penser que ce futur salarié risque d'être " dépassé par des événements ".
-La personne qui répond systématiquement à côté des questions posées (manque d'adaptation à la situation).Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 14:58

Savoir se présenter en 2 minutes chrono!

Un entretien de recrutement démarre très souvent par une formule rituelle : présentez-vous ! Vous avez alors 2 minutes pour faire bonne impression, être jaugé, évalué, puis retenu ou écarté du processus de recrutement. Alors soignez votre entrée en matière !

Préparez-vous minutieusement

Pour être percutant, travaillez votre présentation en amont. Plus vous maîtriserez votre présentation, plus vous serez mentalement disponible pour ajuster votre discours à votre interlocuteur. En vous préparant, vous éviterez le stress de l'improvisation. Faites le point sur votre parcours professionnel, votre projet de carrière, votre vision du poste visé.
Pensez à positiver vos éventuelles périodes d'inactivité : il ne s'agit pas de vous justifier mais de montrer que vous n'êtes pas resté les bras ballants.
Collectez des informations sur la personne que vous allez rencontrer (sa formation, son parcours) : consultez cet effet le site Internet de l'entreprise ou les réseaux professionnels type Linkedin. A partir de ces éléments, élaborez votre argumentaire et entraînez-vous à le formuler afin d'être capable de l'énoncer de manière naturelle. N'hésitez pas à vous roder auprès de votre entourage.

Présentez-vous en trois phases

En 2 minutes, vous devez donner envie au recruteur de mieux vous connaître. Tendez-lui les meilleures perches pour qu'il les saisisse et instaure un dialogue constructif avec vous.

Démarrez par votre présentation personnelle : déclinez votre identité. Vous n'êtes pas obligé d'évoquer votre vie privée dans les détails. Un exemple : si vous pensez que pour le poste votre statut de parent, ou votre âge, est un plus, parlez-en, sinon attendez que le recruteur vous pose la question.

Poursuivez par votre présentation professionnelle : évoquez votre formation initiale puis éclairez les étapes-clés de votre parcours. Faites ressortir le fil conducteur de votre carrière.

Finissez en exposant le lien entre votre projet, vos compétences, et le poste proposé. Vous pouvez conclure par une formule du type " Voilà pourquoi je pense être l'homme (ou la femme) de la situation." Cela permettra au recruteur de rebondir et d'enchaîner par des questions complémentaires.

Rassurez votre interlocuteur

Au fil de votre présentation, pensez en priorité à rassurer votre vis-à-vis. Vous devez inspirer confiance. Valorisez vos succès à des postes similaires ou toutes les expériences, mêmes extra-professionnelles, qui montrent que vous possédez les qualités requises pour le poste. N'hésitez pas à souligner vos atouts : vous êtes jeune et célibataire pour un poste qui requiert une très grande disponibilité, vous êtes expérimenté pour un poste qui exige du doigté et de la diplomatie.

Important

Présentez toujours votre vie professionnelle sous l'angle de l'évolution. Même si vous avez passé les 5 dernières années au même poste, mettez en valeur ce qui changé durant cette période (le périmètre de responsabilité, les équipes, les budgets, etc.) pour donner une image dynamique.Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 15:01

La première impression est généralement la bonne

L’entretien d’embauche est un entretien commercial. Vous êtes là pour vous vendre ! Plus facile à dire qu’à faire, direz-vous…N’en soyez pas si sûr. Il existe une méthode plébiscitée par les commerciaux car payante : la « règle des 4 x 20 ».

Autrement dit, quand vous entrez dans le bureau du recruteur, accordez une attention toute particulière aux 20 premières secondes, aux 20 premiers gestes, aux 20 premiers mots et aux 20 premiers centimètres. Explication :

Les 20 premières secondes

Elles conditionnent tout l’entretien. C’est sur cette première impression que le recruteur vous jugera. Bien entendu, l’entretien ne se limite pas à ces 20 secondes, mais si votre entrée est mal perçue, vous partez avec un handicap. Première chose à faire donc, vous assurez que votre « look » est en adéquation avec le type de travail auquel vous postulez et que votre présentation est soignée. Des experts estiment en effet que le jugement que l’on a d’un individu se base à 80% sur la voix ou le visuel. En fait, il vous faut attirer la sympathie du recruteur. Pour y parvenir, concentrez-vous sur votre démarche et votre attitude : ayez l’air sûr de vous et dirigez-vous vers le recruteur d’un pas décidé. Adoptez toutefois de préférence un comportement mesuré plutôt qu'une attitude faussement à l'aise : vous n’êtes pas en terrain conquis, c’est le recruteur qui décide.

Les 20 premiers gestes

Commencez par saluer votre interlocuteur en lui tendant une main ferme, sans excès. Une remarque pour ceux qui ont les mains moites : pensez à les essuyer. Plus globalement, tâchez d’avoir des gestes d’ouverture, de vous montrer disponible dans votre attitude : évitez par exemple de croiser les bras ou les jambes. Ces attitudes sont clairement considérées comme des signes de rigidité et de difficulté à aller vers les autres. Par ailleurs, vos gestes doivent être en harmonie avec ce que vous dîtes et ce que vous dégagez.

Les 20 premiers mots

Saluez votre interlocuteur d’un « Bonjour Monsieur ! » ou « Bonjour Madame ! ». Ensuite, présentez-vous. Attention à votre voix : elle doit être à la fois assurée, claire et douce. Pensez aussi à bien articuler : il n’y a rien de plus crispant qu’un candidat qui s’exprime de façon inintelligible. Dans le même ordre d’idées, veillez à ce que votre vocabulaire soit positif et compréhensible. Surtout, évitez de vous lancer dans de longs discours : n’oubliez pas que vous avez été convié à cet entretien par le recruteur, c’est lui qui le dirige. Notez aussi qu’en laissant parler le recruteur, vous gagnez du temps pour réfléchir à ce que vous direz ensuite.

Les 20 premiers centimètres

Vous ne devez vous concentrer que sur le visage du recruteur. Tout se passe entre ses deux tempes, au niveau de ses yeux. Votre mission : le regarder bien en face, avec un sourire franc et direct. Si vous êtes mal à l’aise, vous pouvez toujours regarder ses sourcils… Le principal est de vous montrer attentif à votre interlocuteur.Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 15:04

Préparez votre entretien d'embauche

Renseignez-vous sur le poste proposé, votre interlocuteur, l’entreprise et son secteur d’activité

Glanez le maximum d’informations possibles et préparez 4 ou 5 questions précises.
Premièrement, ces questions et votre connaissance générale de l’entreprise seront la preuve d’un travail préalable de fond et de votre motivation. Deuxièmement, vous vous sentirez plus détendu et vous serez aussi plus efficace en entretien.

Préparez votre argumentaire

Nous connaissons généralement un ou plusieurs points importants qui peuvent faire basculer une décision d’embauche. Préparez vos arguments « phares » comme le ferait un commercial, notez-les.
Sachez aussi écouter le recruteur : présentez vos arguments, mais n’insistez pas si le recruteur ne revient pas dessus. Soit vos arguments ne sont pas les plus importants pour lui – et dans ce cas essayez de détecter les éléments déterminants pour lui – soit il a compris et insister lourdement n’aurait pas un effet positif.

Anticipez les questions pièges

Vous connaissez probablement les questions pièges liés à votre CV ou au poste auquel vous postulez. Alors préparez-les. Vous trouverez sur le net, dans différents livres ou sur notre logiciel « J’envoie mon CV » les questions récurrentes, préparez-les.

Simulez l’entretien avec un ami

Les sportifs s’entraînent en vue d’une épreuve. Agissez de même, montrez l’annonce à laquelle vous avez répondu (le texte de l’annonce + votre réponse) à un ami et demandez lui de vous faire passer un entretien à blanc. L’entraînement à toujours des effets positifs, les remarques que l’on peut vous faire aussi.Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 15:05

Entretien d'embauche : restez vous-même!

Conseil n°1 : Ni rigide ni décontracté mais dis-po-ni-ble

Que vous soyez debout ou assis, statique ou en mouvement, la bonne attitude corporelle en entretien consiste à miser sur vos appuis pour consolider votre équilibre. Soyez décontracté, les épaules détendues et maintenez votre tête droite mais sans vous raidir. Pensez à vous caler sur l’attitude de vos interlocuteurs et sachez inverser la tendance le moment venu en occupant l’espace différemment ou en changeant le rythme de la discussion. Ne martelez pas vos atouts pour passer en force, mais conservez une attitude sereine afin de démontrer que vos compétences parlent d’elles-mêmes.

Conseil n° 2 : Ne soyez pas un candidat de plus

N’alourdissez pas l’ambiance en donnant l’impression d’accumuler les rendez-vous. Exprimez-vous avec intensité lorsque vous pensez aborder les éléments essentiels et soyez plus léger le reste du temps pour souligner les contrastes. Profitez en aussi pour exprimer d’une façon personnelle votre trajectoire professionnelle en soulignant avec calme votre motivation pour le poste. Rappelez-vous que pour un recruteur, le bon candidat doit être à la fois confiant et convainquant.

Conseil n°3 : Faites valoir votre sens du timing

Gardez le contact avec vos ressentis et pensez à adapter votre comportement en fonction de la discussion. Veillez toujours à conserver l’esprit d’initiative pour relancer l’entretien. Et même si votre temps est mesuré, pensez à mettre en relief une information importante en reformulant par exemple une question pour mieux introduire votre réponse. Si vous jugez utile de vous démarquer sur un point, alors ponctuez votre intervention par une intonation montante en captant le regard de votre interlocuteur avec davantage d’intensité.

Conseil n° 4 : Pas de stratégie, c’est la meilleure stratégie !

La qualité de votre prestation en entretien dépend de la justesse de votre état d’esprit. Aussi la préparation la plus utile consiste à bien connaître vos atouts et votre parcours personnel, à vous imposer et à convaincre pour clore le processus de recrutement. Il est donc nécessaire de vous imprégner de l’ambiance pour vivre cette conversation sans esprit de calcul mais dans le ressenti. Les mots viendront naturellement si vous maîtrisez bien votre sujet et si vous donnez l’impression d’avoir déjà trouvé vos marques.

Conseil n° 5 : Restez présent jusqu’au bout

Quelles que soient vos impressions durant l’entretien, ne donnez pas l’occasion à votre recruteur de lire un sentiment de défaite ou de déception au moment de votre départ. Souvent, c’est l’attitude du candidat qui souffle le verdict à une équipe de recruteurs fatigués. Soyez subtil dans votre démarche pour relativiser l’importance de la décision. Retenez cette pensée taoïste qui recommande de traiter les choses grave avec légèreté et les choses légère avec gravité…Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 15:08

Réussir son entretien d'embauche

On vous appelle pour fixer un rendez-vous

Acceptez le rendez-vous de l'employeur, même si vous aviez autre chose de prévu à ce moment-là. Repoussez vos autres obligations, à moins d'être malade ou d'avoir un autre entretien d'embauche le même jour. Dans ce cas, proposez à l'employeur plusieurs dates et plusieurs horaires.

Si vous ne connaissez pas la fonction exacte de votre interlocuteur, essayez de vous renseigner auprès de la personne qui vous fixe le rendez-vous. Cette information essentielle vous sera utile pour préparer l'entretien. En effet, vous ne vous présenterez pas de la même façon face à un responsable des Ressources Humaines ou un Directeur marketing.

Au moment de prendre le rendez-vous, demandez un numéro de téléphone où joindre rapidement votre interlocuteur en cas d'empêchement ou d'impondérable de dernière minute. Notez immédiatement ce numéro dans votre agenda, à côté du nom de la personne, à la date de votre rendez-vous. Vous le retrouverez rapidement le jour même en cas de besoin (ex. : grève des transports, embouteillages, maladie…).

Arrivez avec 5 minutes d’avance

Il est fondamental d’être à l’heure. Mieux vaut même d’arriver avec 5 mn d’avance : le temps que l’on vous annonce, d’aller jusqu’au bureau de votre interlocuteur, etc.
Prévoyez toujours 20 minutes de battement. Ces 20 minutes vous permettront soit de boire tranquillement un café et de relire vos notes, soit de palier à un problème de circulation.
Tachez aussi de faire bonne impression auprès de la personne qui vous annonce. D’une part, vous ne connaissez pas son importance au sein de cette entreprise, d’autre part c’est une bonne façon de vous mettre en situation. Prononcez distinctement le nom de votre interlocuteur et vérifiez à cette occasion la prononciation exacte de son nom.

La première impression

Lors d’une rencontre - ce n’est pas limité aux entretiens de recrutement - les trente premières secondes comptent beaucoup. « La première impression est généralement la bonne », dit l’adage populaire. Exact ou pas, cette première impression reste un élément prépondérant pour la réussite de l’entretien. Concentrez-vous durant ces 30 premières secondes sur :

-votre démarche et votre attitude en arrivant, ne regardez pas vos pieds !
-votre regard, regardez votre interlocuteur dans les yeux
-votre poignée de main, ferme sans excès et si vous avez les mains moites, séchez-les
-vos premiers mots, commencez par « Bonjour Monsieur (ou Madame) »

Appuyez vos réponses et soyez bref

-Exprimez vous en terme de problème / solution : avec vous, chaque problème à sa solution.
-Donnez des chiffres précis, des références : avec vous, on ne navigue pas dans le flou.
-Faites en sorte que vos réponses soient brèves : avec vous, on va à l’essentiel.

Posez des questions

Montrez votre intérêt pour le poste en posant des questions précises et pertinentes sur le poste et ses missions principales, les moyens rattachés pour réussir la (les) mission(s), sur le recruteur, sur l’entreprise et son secteur d’activité.

Le candidat moyen se bornera à répondre, parfois avec talent, aux questions qu’on lui pose.
Mais c’est généralement sur la pertinence de vos questions que le recruteur se fera une opinion sur vous. Privilégiez les questions sur le poste, plutôt que sur le secteur d’activité. Ne vous limitez pas non plus à réciter ce que vous avez vu sur la plaquette ou le site web de l’entreprise.

Concluez pour votre part l’entretien en reformulant les points importants

Clé de voûte d’un entretien réussi, exprimez vous en ces termes :
« Si j’ai bien compris vous recherchez une personne pour le poste …. qui se décompose en … missions qui sont les suivantes …. avec comme objectif principal …. Est ce que j’ai bien compris ? »

Si le recruteur vous répond « Oui, vous avez bien compris ! » vous aurez fait 50% du chemin.

En effet, vous lui aurez montré en quelques mots votre intérêt réel pour le poste (vous l’avez écouté et vous avez compris ce qu’il attendait) ainsi que votre sérieux et votre professionnalisme (en validant ces attentes vous montrez aussi que vous ne vous engagez pas à la légère).

Vous pouvez poursuivre ainsi : « pour conclure notre entretien pour ma part, je pense avoir […les qualités requises … l’expérience nécessaire …] pour réussir dans cette fonction ».

Gardez le contact

Validez toujours qui recontacte l’autre, à quelle date et sous quelle forme.
Un bon commercial cherchera à toujours à valider le prochain entretien.Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 15:12

L'entretien collectif

L'entretien collectif vise à vérifier votre capacité à vous insérer dans un groupe et à identifier le rôle que vous tenez face à une situation donnée. Le recruteur n'intervient jamais dans la discussion, sauf pour préciser le temps disponible.

Le type d’épreuve

Les questions qui vous sont posées sont de deux natures :

-les premières vont avoir pour but de demander au groupe de prendre une décision ou de faire quelque chose,
exemple : Imaginez un voyage pour récompenser les meilleurs commerciaux. Choisissez une destination et ne proposez à la direction générale (ici le recruteur) que trois projets, alors que vous êtes huit candidats

-les secondes vont vous demander de défendre un point de vue, qui vous sera personnel, devant les autres.
exemple : « Notre société fête ses cinquante ans, que pouvez-vous proposer comme manifestation pour cet événement ?" Il s'agit rarement de questions techniques.

Les qualités attendues et identifiables lors de cet entretien

L’écoute : Sachez écouter les consignes de l’exercice. Si vous n’avez pas compris, proposez une reformulation. Ainsi, votre interlocuteur n’aura pas à répéter son explication mais à la compléter.

L’empathie : Lors des échanges avec les autres candidats, montrez que vous comprenez leur point de vue. Les comprendre n’est pas forcément être d’accord, mais il est important de respecter leur propos et d’affirmez le vôtre. Illustrez avec des exemples précis tirés de votre expérience, soyez honnête et concret. Ne vous braquez pas si on ne retient pas votre idée.

La structure : Structurez votre discours, que vous interveniez pour vous présenter ou pour faire avancer le groupe. N’hésitez pas à organiser le travail du groupe en proposant des synthèses intermédiaires : « je vous propose de faire le point...nous avons émis trois idées pour les vacances... est ce que nous sommes d’accord jusque là ? ».

L’expression orale : Lors de ce type d’exercice, il est important de s’exprimer correctement. Eviter les fautes grammaticales, les tics de langage et restez vigilant face au langage familier. Il est facile de se laisser aller, entraîné par le feu de l’action, aussi n’oubliez pas de garder une attitude professionnelle.

L’aisance relationnelle : Les recruteurs observent un groupe ainsi que des individus qui interagissent les uns avec les autres. Pensez à regarder tout le monde et à vous positionner dans le groupe en restant vous-mêmes. Vous avez des compétences et des qualités à exprimer, alors ne vous dévalorisez pas face aux autres et sachez faire preuve d’affirmation.

Les pièges à éviter

Tenter de « jouer un autre rôle » : Restez vous même et ne sur-jouez pas. Sachez faire de votre différence un véritable atout pour l’entreprise.

La passivité : Naturellement si vous êtes en retrait et d’attitude passive, vous allez être jugé comme tel. A l’inverse, la personne qui parle le plus n’est pas forcément celle qui sera recrutée. Si vos interventions, même rares, sont pertinentes, elles auront du poids.
Regarder les recruteurs : Soyez dans le jeu. Ne cherchez pas le soutien des recruteurs par des regards : ils sentiront que vous doutez. Impliquez-vous dans le groupe, c’est lui que vous devez faire vivre.

Etre versatile : Vous avez le droit de ne pas avoir d’avis sur un sujet. Vous avez aussi le droit de vous ranger à l’opinion de l’un des candidats si elle vous semble pertinente. Néanmoins, ne vous ralliez pas en permanence à l’avis du dernier qui a parlé, car cela passera pour un manque de personnalité.Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 15:16

Entretien d'embauche : faut il remercier le recruteur?

Remercier ou ne pas remercier le recruteur suite à un entretien, voilà la question. Vous craignez d'en faire trop ou de commettre un impair ? Vous pensez que cela peut se retourner contre vous ? Vous avez vécu l'entretien comme un moment plutôt inconfortable et enchaîner par des remerciements vous semble absurde ? Rassurez-vous. Vos interrogations sont tout à fait légitimes.

Plusieurs cas de figure possibles

Le recrutement concerne une création de poste ? Ce poste est celui de vos rêves ?

Vous avez une carte à jouer. Celle de votre plus-value et de vos réalisations. Envoyez un e-mail de remerciements dans lequel nous vous conseillons d'adopter un style simple, précis et direct. Dans tous les cas de figure, faites court. Commencez par dire que vous avez apprécié la qualité de votre échange et que vous avez bien retenu qu'il s'agissait d'une création de poste. Qu'à ce titre, vos compétences en X ou votre expertise en Y pourrait contribuer à la réussite du poste. Vous pouvez ajouter que vos compétences dans des domaines connexes permettraient à l'entreprise de disposer par ailleurs d'une ressource interne supplémentaire le cas échéant. Enfin, utilisez la formule de politesse conseillée par la Net étiquette : « Cordialement ».

Le recruteur ou votre « futur » souhaitent recevoir un complément d'informations évoqués lors de l'entretien

Rapport ou étude de cas sur une de vos réalisation pour mieux valider vos compétences, synthèse sur l'entretien pour voir ce que vous en avez retenu, références ou publications mentionnées dans votre CV.
Dans ce cas, soyez également simple, précis et direct. Il s'agit d'une transmission de documents. Vous pouvez toutefois en quelques lignes communiquer sur les résultats chiffrés ou sur les bénéfices tangibles apportés par vos ces réalisations ou ces publications.

Vous venez d'avoir un entretien réseau

Pour ce cas de figure, un e-mail de remerciements s'impose toujours. Remerciez toujours un contact pour… garder le contact ! Remerciez-le de vous avoir reçu et faites-lui savoir que ses informations et ses conseils vous seront ou ont été fort utiles pour votre projet professionnel. Dites-lui que vous le tiendrez au courant de vos actions futures et qu'il n'hésite pas à vous solliciter sur une problématique relevant de votre domaine de compétences.

Vous venez d'accepter une proposition d'embauche d'une autre entreprise

Le minimum que vous puissiez faire est d'en informer rapidement la ou les entreprises avec lesquelles vous êtes en plein process de recrutement. Remerciez le recruteur pour l'attention portée à votre candidature et pensez à la suite de votre parcours… Indiquez-lui votre nouvelle fonction et l'entreprise dans laquelle vous entrez. Le recruteur saura où vous recontacter plus tard…Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 15:25

Savoir anticiper les questions "piège"

Si l'entretien sert à vérifier l'adéquation de votre profil au poste proposé par un jeu de questions- réponses, le recruteur sort parfois des sentiers battus. Après les questions habituelles sur votre formation, vos qualités et défauts, votre parcours et vos attentes sur le poste, peut survenir une question qui vous laisse sans voix, complètement déstabilisé. Et c'est bien là le but recherché. Evaluer votre réactivité face à une situation imprévue.

Autour du " Parlez-moi de vous ? "

Cette question sert d'amorce. Attention à la façon d'y répondre ! Les premières secondes sont souvent déterminantes pour se faire une opinion sur la motivation réelle du candidat. Soyez persuasif et concis - un long discours risque d'ennuyer votre interlocuteur - et démontrez que vous êtes la personne qui correspond le mieux aux attentes de l'employeur par vos valeurs, votre expérience, votre motivation, vos capacités d'organisation et d'adaptation.

Montrer le meilleur de soi.

Travaillez les points "faibles" de votre CV : longue période dans le même poste, absence de promotion, licenciement, changement régulier d'emplois…
Le fait de répondre aux questions sur ce sujet apportera la preuve de votre maîtrise : vous ne vous laissez pas démonter. Elaborez une réponse qui présente le côté positif des choses en valorisant vos expériences, du type : "Je suis certes resté 5 ans dans ce poste mais en élargissant constamment le champ de mes responsabilités ". Gardez-vous de dénigrer qui que ce soit, de mentir, de faire porter le chapeau de vos déboires aux autres ou de vous plaindre.

Cinq questions piège parmi d'autres…

Entraînez-vous à répondre à cette liste - non limitative - de questions " pièges " pour ne pas rester muet le moment venu. Développez vos amorces de réponses pour être paré à toutes les éventualités.

- Comment travaillez-vous sous pression ?
Soyez pro : expliquez que le stress n'est pas un problème mais fait partie du job en illustrant vos propos par des situations vécues. Racontez comment vous vous y prenez pour décompresser, vous détendre et vous ressourcer. Avancez que la pression est aussi un puissant moyen pour agir plus efficacement…

- Où vous voyez-vous dans cinq ans ?
Démontrez que vous avez un véritable projet professionnel, que vous souhaitez progresser et que vous pouvez vous projeter dans un avenir à moyen terme. L'ambition, si elle reste raisonnable, est toujours appréciée. Montrez également que vous connaissez les réalités de la vie professionnelle (turn-over, formation au long de la carrière) et que vous avez la capacité de vous adapter à un environnement mouvant.

- Préférez-vous travailler seul ou en équipe ?
Tout dépend du poste proposé bien sûr mais, d'une manière générale, la solitude n'a pas bonne presse : le travail collaboratif est aujourd'hui la norme. Le recruteur veut connaître vos capacités d'adaptation comme leader ou membre d'une équipe. Faites part de vos expériences réussies dans ce domaine, même en dehors de la vie professionnelle (vie sportive, culturelle, associative, etc.).

- Comment organisez-vous votre temps ?
Donnez des exemples concrets, montrez que vous êtes organisé, que vous ne vous laissez pas déborder et comment vous faites pour terminer dans les temps toutes les tâches à mener de front. N'hésitez pas à raconter une journée type…

- Que pensez-vous de notre entretien ?
Pas de commentaires trop élogieux… Restez modéré dans le vocabulaire. Répondez simplement qu'il était intéressant. Et dites pourquoi ! Insistez sur le professionnalisme et la qualité des échanges, et concluez en affirmant que cet entretien vous motive encore davantage dans votre volonté de rejoindre cette entreprise.

Spécial " filles"

La question du bébé à venir est souvent posée aux jeunes femmes, d'une façon plus ou moins subtile ou voilée. Expliquez que cela ne fait pas partie de vos projets à court terme : c'est ce que le recruteur veut entendre. Une fois en poste, les choses pourront évoluer car vous aurez démontré vos capacités à vous organiser. Si vous avez déjà des enfants et si l'on vous répète que le poste convoité demande une grande disponibilité, répondez que vous êtes bien organisée, et que vous avez jusqu'ici toujours parfaitement réussi à concilier vie professionnelle et vie familiale.Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 15:30

Les questions redoutées sur ... votre personnalité

L'employeur potentiel voudrait savoir si vous correspondez à l'entreprise et au poste à pourvoir - et ce qu'il en est de vos capacités à communiquer et de vos bonnes manières. De telles choses ressortent rarement du CV. C'est seulement lors de l'entretien que l'occasion se présente d'aborder ces aspects.

Les bonnes manières

Pour les bonnes manières, il y a quelques principes de base à respecter : soyez poli, aimable, souriant, et dans le doute, soyez classique. Pour certaines activités, les bonnes manières sont plus importantes que pour d'autres ; alors qu'une attitude conservative est essentielle dans la branche des finances, les chercheurs d'emploi du secteur créatif peuvent tout à fait faire une impression plus décontractée.

Si jamais vous avez des " lacunes culturelles " en matières d'étiquette, en règle générale, celles-ci peuvent être facilement comblées avec des livres sur le savoir-vivre ou des cours spécialisés. Les choses se compliquent quand il s'agit de l'aptitude à communiquer ou l'esprit d'équipe : bien que la communication soit pratiquement toujours un avantage, ici, c'est votre personnalité qui a le plus d'importance. Et pour cela, il faut appliquer la règle d'or des affaires de candidature : ne simulez rien d'inexact !

Apprenez à vous connaître vous-même

Il n'y a pas de personnalité qui soient meilleure ou moins bien que d'autre - il n'y a que certains profils qui concordent particulièrement bien avec certaines entreprises et certains postes. Alors qu'un fignoleur introverti ferait un vendeur minable, il peut être un merveilleux contrôleur de gestion. Inversement, un talentueux présentateur extroverti ne connaîtrait que de la frustration dans le domaine du contrôle de gestion, mais vendrait de façon excellente.

Dans l'entretien d'embauche, attendez-vous à des questions concernant des situations permettant de tirer des conclusions sur votre personnalité. Afin d'y être préparé, vous devriez connaître votre profil de personnalité. Vous pouvez définir ce profil avec de nombreux tests ; dans le domaine des ressources humaines, c'est le modèle DISC d'après C. G. Jung qui est répandu.

Trouver des exemples concrets

Réfléchissez à des situations professionnelles et privées dans lesquelles se révèle votre personnalité. Quand un problème survenu dans votre métier vous vient à l'esprit, pensez à la façon dont vous vous êtes approché d'une solution possible, quel rôle d'autres personnes ont joué pour trouver la solution, sous quelle forme vous avez communiqué avec ces personnes. Votre personnalité doit ressortir clairement et de façon authentique de la situation décrite.

Des questions typiques :

" Décrivez un grand succès/un défi dans votre vie !
" Vous montrez vous offensif/réservé ?
" Nommez trois adjectifs avec lesquels vos amis vous décriraient !
" Comment vous comportez-vous face au stress/aux échecs/à la frustration ?
" Qu'est-ce qui vous plaît chez vous/qu'est-ce que vous aimeriez changer ? Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 15:33

Les tests de recrutement

Avez-vous déjà été confronté à l’épreuve des tests de recrutement ? Si ce n’est pas le cas, pas de panique, voici quelques informations.

Différents tests sont utilisés dans les phases de recrutement : tests de logique appelés également tests de raisonnement ou d’intelligence, tests de personnalité (ou inventaire de tempérament) ou encore tests de mise en situation individuelle ou en groupe.

Voici en quoi consiste chacun des tests :

-les tests de raisonnement ou d’intelligence sont des tests qui, comme leur nom l’indique, permettent d’évaluer les capacités de raisonnement du candidat et sa capacité d’adaptation à de nouvelles situations. Ils sont présentés le plus souvent sous la forme de suites logiques à compléter.

-Les tests de personnalité permettent d’identifier les préférences des candidats ou certains aspects de leur caractère. On peut vous demander de répondre par oui ou par non à des propositions, ou encore de vous positionner, dans un groupe de plusieurs propositions, par rapport à celle dont vous vous sentez le plus proche et celle dont vous vous considérez le moins proche.

-La mise en situation est différente des tests « traditionnels » puisqu’elle fait plus appel à l’action qu’à la réflexion. Cette méthode permet d’ailleurs de faire face à la discrimination dans le recrutement en ne se basant plus seulement sur l’intelligence logique acquise notamment grâce aux études, mais en évaluant des aptitudes qui ne dépendent pas du parcours académique. En effet, la mise en situation se base sur l’expérience du sujet et son savoir faire, et peut être réalisée en groupe ou individuellement. Le principe est de simuler une situation proche de celle du poste visé : acte de vente pour un commercial, résolution de conflits pour un Responsable RH, par exemple. Individuellement, cela prend souvent la forme d’un test « in basket », en français « corbeille de courrier » où le candidat doit trier et gérer des courriers électroniques, des lettres ou notes de services…qui constituent différents problèmes à traiter en un temps limité, au moment où il est supposé prendre ses fonctions. Ces différentes mises en situation permettent de mettre en avant vos capacités de gestion, votre aptitude à prendre des décisions ou encore à gérer les priorités…

L’intervention des tests apparaît généralement après l’entretien de recrutement, comme un outil complémentaire aux informations recueillies en entretien, dans le processus de sélection. Ils contribuent le plus souvent à confirmer les impressions du recruteur et à le conforter dans sa prise de décision.

Rien ne vous oblige à passer ces tests si vous ne le souhaitez pas, mais sachez qu’ils peuvent contribuer à valoriser votre candidature. De plus, votre refus peut être interprété comme une attitude négative et l’expression d’un manque de confiance en vous, voire que vous avez quelque chose à cacher. Par ailleurs, il est nécessaire de relativiser l’importance des tests par rapport à l’entretien. En effet, il est peu probable qu’un bon entretien soit minoré par des résultats aux tests médiocres et vice-versa mais ils permettent d’éclairer le mode de fonctionnement d’un candidat pour mieux comprendre les contours de sa personnalité.

Ensuite, les résultats des tests peuvent être intéressants pour votre propre réflexion. Vous êtes tout à fait en droit de demander une restitution des résultats afin d’en savoir plus sur vous-même ainsi que sur la perception des recruteurs par rapport à votre candidature.

Enfin, aucune préparation préalable à la passation des tests n’est pas à prévoir. En effet, même s’il reste possible de s’entraîner pour des tests de logique, ceci semble plus difficile pour les tests de personnalité. Concernant ces derniers, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse ! Le recruteur cherche simplement à comprendre votre mode de fonctionnement, vos atouts, votre style relationnel, vos besoins en terme de management et vos motivations. En outre, ne cherchez pas à orienter vos réponses car le test le révélerait et cela ne serait sans doute pas à votre avantage.

Répondez naturellement et sincèrement sans être stressé par cette étape du processus de recrutement. Soyez authentique et spontané tout en restant concentré et tout se passera pour le mieux ! Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 15:37

L'habit fait le moine

Un look taillé sur mesure

De nombreuses entreprises ou métiers ont des codes vestimentaires qui leur sont propres. Pourquoi ? Parce que votre image, c’est aussi l’image de votre entreprise et parce qu’en adoptant ses codes, vous êtes reconnu comme l’un des siens. Vous pensez que nous exagérons le rôle de l’apparence dans le monde du travail ? Détrompez-vous : on estime que 55 % de l'attention est captée par l'apparence. Et même si aucun patron ne l’avouera jamais, un employé qui n’a pas le bon look a de grande chance de voir sa carrière bloquée ! En fait, le but est d’arriver à trouver l’équilibre entre les codes vestimentaires à respecter au sein de l’entreprise, et votre personnalité. Car s’il faut que vous vous fondiez dans le moule pour bien vous intégrer à votre nouvelle tribu, vous ne devez pas pour autant devenir transparent ! Votre image doit rester en adéquation avec votre personnalité. Bien entendu, tous les métiers ne sont pas exposés de la même façon. Si le costume est de rigueur dans l’audit ou dans le conseil, il l’est nettement moins chez les informaticiens, par exemple.

Opération séduction

Nos vêtements parlent de nous et peuvent influencer un recruteur lors d’un entretien d’embauche. En fait, vous devez séduire et rassurer votre interlocuteur en lui renvoyant une image qui lui est familière. Alors comment faire lorsque l’on a objectivement un problème de look ? Vous pouvez par exemple vous faire accompagner par des professionnels, au premier rang desquels les coachs en relooking. Pratiqué aux Etats-Unis depuis une trentaine d’années, le relooking ou le conseil en image existe aujourd’hui en France. Autrefois réservée aux politiques, acteurs, etc., il se démocratise depuis quelques années : les prix baissent au fur et à mesure que cette pratique rentre dans les moeurs ! On voit ainsi des chefs d’entreprise faire appel à ces coachs pour leurs employés.

Conseils de base pour aller à un entretien

Le look, qu’est-ce que c’est ? Vos vêtements, votre maquillage, votre coiffure, vos accessoires, etc.
Même si peu de recruteurs le reconnaissent, l’appartenance physique, les vêtements, ce que dégage le candidat sont autant de critères pris en compte dans la décision de recruter ou non. A compétences égales, le look peut bel et bien contribuer à différencier deux candidats ! Donc, évitez les fautes de goût grossières comme le maquillage qui coule, les ongles sales, les cheveux gras, un parfum trop fort, etc. L’idée, c’est de rester assez neutre tout en essayant de coller au poste. Si vous postulez à un poste de directeur financier, vous risquez d’être mal perçu si vous ne vous présentez à l’entretien vêtu d’un complet gris. La règle d’or est de savoir identifier les codes vestimentaires de l’entreprise pour s’y adapter. Une dernière remarque : les vêtements peuvent permettre de se vieillir (en portant des lunettes, par exemple. C’est un gage de sérieux) ou de se rajeunir (en portant des couleurs vives, etc.). Pensez à toutes les possibilités qui s’offrent à vous.

Après l’entretien

Tirez des enseignements des entretiens que vous passez. Certains regards, certaines remarques sur votre apparence ne sont peut-être pas anodins. Ne négligez pas non plus l’avis de votre entourage. Vous en apprendrez sûrement beaucoup et aurez peut-être quelques surprises…
Prenez en compte ces remarques pour vos entretiens suivants et changez de look, même si ce n’est que temporairement et seulement pour l’entretien. Le principal est de passer cette étape de sélection.Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 15:39

La communication non verbale

Savoir interpréter correctement le langage du corps peut devenir un avantage décisif au travail. C’est pourquoi des entreprises organisent des séances de coaching pour leurs employés avec des professionnels du théâtre.

Roger Nydegger connaît les planches de théâtre ainsi que le monde de l’économie : il est acteur, pédagogue du théâtre, expert en communication, et il est coach en entreprise où il entraîne les managers pour leurs entrées en scène. « Que ce soit pour surmonter des conflits d’équipes à travers des jeux de rôles ou pour entraîner les VRP avec des clients fictifs, le théâtre est de plus en plus apprécié dans les entreprises » explique R.Nydegge. « Mais il ne s’agit pas d’illusionner quelqu’un. On simule des situations et des comportement afin de les analyser et d’apprendre à mieux les comprendre ».

90 % de nos communication sont non verbales

Pour lui, dans n'importe quel entretien, « avant même que le candidat ait pu présenter ses avantages, il a déjà envoyé des premier signaux non verbaux. De la même manière, avant même qu'un recruteur n’ait pris la parole , son visage et sa tenue ont déjà annoncé son état général. Aucune personne ne peut être perçue détachée de son corps. Celui-ci exprime ce que nous sommes - et il représente notre relation avec le monde extérieur. » Nous utilisons le langage du corps tous les jours, de manière plus ou moins naturelle, la plupart du temps inconsciemment. Et souvent, nous sous-estimons sa force et son impact. Si l’on prend la conclusion inverse, cela signifie que si nous percevons les signaux corporels des autres et que nous les interprétons correctement, nous les comprenons mieux et pouvons mieux contrôler notre comportement. Et même plus que cela : la façon dont nous faisons effet sur les autres est due à 90 pour cent à des signaux non verbaux, nous explique Rita Misteli, entraîneuse en communication dans un cabinet spécialisé. En décryptant ces signaux, on est en mesure de mieux reconnaitre les conflits, avec, à la clé, plus de chances de les résoudre, on s'engage mieux dans des réunions, on apprend à mieux construire et piloter ses entretiens ...

Le corps ne ment pas

Mais attention : vouloir faire illusion face à d’autres avec des gestes étudiés à l'avance ne fonctionne tout au plus qu’à court terme et ponctuellement. « Le corps ne ment pas », nous dit Rita Misteli. Il communique l’attitude intérieure. Si l’énoncé verbal ne correspond pas, on fait un effet incertain et peu crédible. Dès que des sentiments sont en jeu, on peut à peine contrôler la mimique et la gestuelle.

En revanche, au niveau des faits, on peut, avec une tenue disciplinée et des gestes entraînés, produire un effet neutre ou positif, du moins pour un court moment, nous dit Rita Misteli. Les meilleurs exemples se trouvent dans la sphère politique, tel l’ex-chancelier allemand Gerhard Schröder : lors d’apparitions en public, il se serait déplacé de manière consciemment lente, ce qui donne une stature d'homme d’état sûr de soi et souverain. « Cependant, on peut difficilement dénaturer la mimique et la modulation de la voix sur un long laps de temps », prévient l’entraîneuse en communication. Ces astuces font rapidement un effet artificiel et la personne en face perçoit intuitivement que quelque chose cloche. Le conseil de Rita Misteli : « N’observez pas seulement les autres, regardez-vous aussi ! ».

Ce que vous devriez éviter

Respecter le territoire des autres : « Quand quelqu’un se colle trop à nous, nous le vivons comme une intrusion dans l'espace personnel et la réaction est souvent le repli sur soi », nous dit l’entraîneuse en communication Rita Misteli. C’est pourquoi, lors de l’apéro ou dans des réunions, toujours respecter une « distance de sécurité » d’au moins 50 cm. Et pendant la réunion d’équipe, ne jamais occuper la place que tel ou tel collègue à l'habitude de se réserver.

Faites attention à avoir une poignée de main appropriée. Parce qu’il paraît qu’une poignée de main sans force indique un caractère faible, certains se sont entraînés à avoir une poignée de main bien forte. Malheureusement, cela est aussi repoussant qu’une menotte flasque...

« Je te regarde dans les yeux. » : les gens qui ne regardent pas vraiment les autres paraissent fuyants. Si quelqu’un regarde par dessus nos têtes ou à côté, cela donne une impression d’arrogance. S’il regarde par terre, il est incertain, complexé ou bien il veut nous tromper. Celui qui a du mal à garder le contact visuel peut se concentrer sur la racine du nez de son vis-à-vis.

Quand vous entrez dans le bureau du chef, adpotez une tenue droite (sans oublier la tête !), déplacez-vous dans un rythme lent, approprié.

Attention, il y a de l’orage dans l’air : détourner le corps, avoir des coins de bouche affaissés, des levres pressées, des gestes défensifs, voilà des signaux non verbaux qui annoncent un conflit. C’est pourquoi les persones entrainées présentent-ils, même dans une atmosphère tendue, leur point de vue de manière sobre et avec une voix calme.Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 15:45

Confirmer son intérêt pour un poste après l’entretien

Vous êtes satisfait : votre entretien s'est bien déroulé. Maintenant vous n'avez plus qu'à attendre qu'on vous rappelle ? Que nenni ! La balle est toujours dans votre camp…

Même après un entretien réussi, il est absolument indispensable de réitérer votre intérêt pour le poste et l'entreprise visés dans les jours qui suivent : c'est un " plus " pour vous en termes d'image, qui jouera en votre faveur lors du processus de recrutement.

Préparez le terrain en entretien

Dès la fin de l'entretien, concluez en amenant l'idée d'un rapport ultérieur avec le recruteur. Confirmez d'ores et déjà votre intérêt pour le poste et interrogez-le sur les étapes suivantes : " Quel sera votre délai de réflexion ? Quand pourrai-je vous recontacter ? " Ce type de questions fait la différence entre un candidat " normalement impliqué " et quelqu'un de pleinement motivé.

Attention : dans votre hâte de clore l'entretien, n'oubliez pas de repartir avec les coordonnées mails et téléphoniques de votre interlocuteur. Ayez le réflexe de lui demander sa carte de visite.

Envoyez un mail sous 48 heures

Dans ce mail de quelques lignes, résumez l'entretien, montrez que vous avez bien compris les enjeux du poste et rappelez rapidement vos points forts et la valeur ajoutée que vous pourriez apporter à l'entreprise. Vous pouvez éventuellement souligner ou ajouter un élément important en votre faveur qui n'a pas été suffisamment développé lors de la rencontre.

Important : soignez bien la forme de votre mail. C'est une trace écrite supplémentaire que vous laissez au recruteur, qui peut lui servir de " pense-bête " de votre candidature : il n'a pas forcément tout retenu de votre entretien !

N'hésitez pas à rappeler

Même si vous n'avez aucun retour à la date prévue, ne baissez surtout pas les bras. Décrochez votre téléphone pour réaffirmer encore une fois votre intérêt et prendre des nouvelles sur l'avancée de votre candidature. A ce stade du recrutement, si plusieurs candidats sont en balance, rappeler peut vous permettre de marquer des points précieux : votre dossier remontera en haut de la pile.

Cas particulier : le recrutement traîne en longueur. Ne l'interprétez pas en votre défaveur. L'employeur peut être soumis à des impondérables qui n'ont rien à voir avec vous. Ne harcelez pas le responsable des ressources humaines chaque jour mais rappelez-le environ une fois par semaine.Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1Lun 28 Jan - 15:48

Relancer les recruteurs !

Relancer : une étape inévitable

Quoi de plus frustrant que d’attendre une réponse qui se fait désirer lorsque l’on a envoyé sa candidature depuis plus de 15 jours ? Et pourtant, malgré le stress et l’impatience qu’engendre une telle situation, pour bien des candidats il est très difficile d’aller vers l’employeur pour en savoir plus sur l’état du recrutement. Grave erreur : relancer son interlocuteur après une candidature restée sans réponse est impératif, et ce pour plusieurs raisons.

Motivé !

En vous manifestant auprès de la personne qui a passé l’annonce, vous montrez d’abord que vous êtes un candidat motivé et intéressé par le poste. Vous prouvez aussi que vous ne postulez pas au hasard mais que cette annonce en particulier a retenu toute votre attention. Pour le recruteur, c’est un gage de sérieux.

Relancer pour en savoir plus

A ce stade de votre candidature, l’autre intérêt de relancer est de savoir à quelle phase en est le recrutement. Des entretiens ont-ils déjà eu lieu ? Des candidats ont-ils déjà été sélectionnés ? Où vous situez-vous ? L’enjeu est double.

En premier lieu, vous serez fixé sur votre candidature. Si on vous répond négativement, dites-vous que même si la nouvelle n’est pas forcément réjouissante, vous pouvez passer à autre chose. Ne perdez pas de vue que cela peut se révéler très utile si dans le même temps une autre société vous propose un poste qui vous intéresse : vous vous assurez ainsi de ne pas gâcher une opportunité. Ensuite, vous devez impérativement en profiter pour demander au recruteur les raisons pour lesquelles il ne vous a pas retenu. Vous tenez là une occasion en or pour en apprendre plus sur la façon dont vous pouvez répondre à une annonce et améliorer vos candidatures.

Si on ne répond pas à votre relance…

Ne déprimez pas, cela n’a peut-être rien à voir avec votre candidature. Peut-être la décision finale de recrutement n’a-t-elle pas encore été prise ou au pire, votre démarche de relance a pu être mal interprétée. Dans ce cas-là, pas grand-chose à faire, sinon passer à autre chose et vous concentrer sur vos futures candidatures.
Enfin, si vraiment, vous ne rencontrez aucun succès, interrogez-vous sur la qualité et l’efficacité de vos candidatures. Si vous ne recevez pas de réponse ou seulement des réponses négatives, peut-être devez-vous en chercher la raison dans votre façon d’aborder votre recherche d’emploi (problème de méthode, de présentation du CV, de contenu de la lettre, projet professionnel brouillon, etc.).

Conclusion, profitez-en pour tirer parti de vos échecs pour vous remettre en question et mieux rebondir. Source
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MessageSujet: Re: ENTRETIEN D'EMBAUCHE   ENTRETIEN D'EMBAUCHE Icon_minitime1

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